l'heure de ma pause a sonner,
je me relève de ma chaise dos courbé,
pour me saisir et me reposer,
de ces longues heures acharnés,
sur un bureau, devant un pc,
a régler des problèmes insensés,
pour un quart d'heure de repos,
je me penche d'un balcon,
d'un regard puissant de béton,
je sillonne tout l'horizon,
je me ressaisis d'un soupire profond,
et je me dirige vers le bureau du fond,
pour m'ennuyer a nouveau et a fond.
le lendemain,la même histoire,
ma vie n'est que reflet dans un miroir,
de toutes mes journées dérisoires,
a fouiller dans mes répertoires,
a contempler l'horizon évocatoire,
pour une résolution libératoire,
d'une vie de routine hallucinatoire.
je me relève de ma chaise dos courbé,
pour me saisir et me reposer,
de ces longues heures acharnés,
sur un bureau, devant un pc,
a régler des problèmes insensés,
pour un quart d'heure de repos,
je me penche d'un balcon,
d'un regard puissant de béton,
je sillonne tout l'horizon,
je me ressaisis d'un soupire profond,
et je me dirige vers le bureau du fond,
pour m'ennuyer a nouveau et a fond.
le lendemain,la même histoire,
ma vie n'est que reflet dans un miroir,
de toutes mes journées dérisoires,
a fouiller dans mes répertoires,
a contempler l'horizon évocatoire,
pour une résolution libératoire,
d'une vie de routine hallucinatoire.
3 commentaires:
Un beau texte très mélancolique, juste faut savoir comment cultiver et dynamiser chaque jour pour d'éclose une nouvelle rose dans le jardin de l'existence.
Un beau texte très mélancolique, juste faut savoir comment cultiver et dynamiser chaque jour pour d'éclose une nouvelle rose dans le jardin de l'existence.
oui bien dit la russe.j'adore ton commentaire.
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